La liberté de la presse est essentielle pour la bonne gouvernance, estime l’Onu

droit. Le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, la directrice générale de l’Organisation des
Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) et le Haut-Commissaire aux droits de
l’homme l’ont affirmé dans une déclaration commune signée le 2 mai. Ces organismes estiment qu’un
journalisme de qualité permet aux citoyens de prendre des décisions éclairées concernant le
développement de la société.
Pour ces organisations, le journalisme est d’un grand apport. Il contribue à dénoncer les injustices, la
corruption et les abus de pouvoir.
Ainsi, la liberté d’expression et celle de la presse ne sont pas des attributs de luxe que l’on peut attendre
jusqu’à ce que le développement durable soit atteint. Ce sont elles qui permettent de jouir de tous les
droits humains ; elles sont, donc, essentielles à la bonne gouvernance et au respect de la primauté du
droit, selon toujours ce document.
Plusieurs manifestations sont prévues dans le monde et en RDC pour célébrer cette journée.
La Journée mondiale de la liberté de presse a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies
en décembre 1993 après la tenue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine
indépendante et pluraliste.Ce séminaire s’est déroulé à Windhoek (Namibie) en 1991, et a conduit à l’adoption de la Déclaration
de Windhoek sur la promotion de médias indépendants et pluralistes.
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