RDC : les confessions religieuses se disent favorables au dialogue national
Les confessions religieuses se sont déclarées favorables au dialogue national convoqué par le président de la République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila afin de résoudre les différents problèmes qui plongent le pays dans une crise pré-électorale.
Ces responsables religieux et coutumiers ont exprimé cette position lundi à Kinshasa après avoir été reçus par le président Joseph Kabila au Palais de la Nation.
Pour le représentant de l'église Kimbanguiste, Simon Kimbangu Kiangani, "les acteurs politiques rd-congolais doivent respecter les lois du pays et prévenir des tensions électorales".
L'abbé Léonard Santendi, porte-parole de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO), a affirmé pour sa part que "l'église donne de ce qui est sa vision, de ce qui est de sa doctrine de ce qui est de l'importance à l'heure actuelle".
"Pour l'église, on le rappelle dans tous les documents, pour nous, le dialogue est une voie royale, une voie pacifique de sortie de crise. Mais il faut bien alors définir ses objectifs, penser à son contenu, c'est sur ce point qu'il doit y avoir un dialogue pour dire qu'est-ce que nous voulons, mais pour les évêques il est impérieux d'avoir un consensus autour du calendrier global électoral, mais aussi créer ce climat de confiance de paix pour un processus électoral réussi pour bâtir l'avenir de la République", a-t-il souligné.Madeleine Ngwanga, représentante légale de l'église de l'Armée du Salut, estime que les RD-Congolais "doivent accepter de se mettre ensemble pour avoir ce dialogue et trouver des solutions aux problèmes que traverse notre pays".
Pour l'Imam Ali Mwinyi, représentant de la communauté islamique du Congo (COMICO), "il est temps que le peuple congolais puisse trouver une solution dans le dialogue qui se tiendra prochainement et que la communauté musulmane pourra donner son cahier de charges très prochainement".
Le représentant de l'église du Christ au Congo, Marini Bodho, a fustigé l'inconstance de certains hommes politiques rd-congolais qui, selon lui, "avaient accepté de dialoguer avec le président Kabila mais à quelques jours de ce dialogue, ils ont refusé de rencontrer le chef de l'Etat".
Les opposants, la majorité et les forces vives de la société civile vont se trouver pour discuter du processus électoral et de la mise en place des nouvelles provinces, alors que le pays n'a pas encore trouvé le moyen financier pour organiser les élections globales estimées à plus d'un milliard de dollars américains.
Ces responsables religieux et coutumiers ont exprimé cette position lundi à Kinshasa après avoir été reçus par le président Joseph Kabila au Palais de la Nation.
Pour le représentant de l'église Kimbanguiste, Simon Kimbangu Kiangani, "les acteurs politiques rd-congolais doivent respecter les lois du pays et prévenir des tensions électorales".
L'abbé Léonard Santendi, porte-parole de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO), a affirmé pour sa part que "l'église donne de ce qui est sa vision, de ce qui est de sa doctrine de ce qui est de l'importance à l'heure actuelle".
"Pour l'église, on le rappelle dans tous les documents, pour nous, le dialogue est une voie royale, une voie pacifique de sortie de crise. Mais il faut bien alors définir ses objectifs, penser à son contenu, c'est sur ce point qu'il doit y avoir un dialogue pour dire qu'est-ce que nous voulons, mais pour les évêques il est impérieux d'avoir un consensus autour du calendrier global électoral, mais aussi créer ce climat de confiance de paix pour un processus électoral réussi pour bâtir l'avenir de la République", a-t-il souligné.Madeleine Ngwanga, représentante légale de l'église de l'Armée du Salut, estime que les RD-Congolais "doivent accepter de se mettre ensemble pour avoir ce dialogue et trouver des solutions aux problèmes que traverse notre pays".
Pour l'Imam Ali Mwinyi, représentant de la communauté islamique du Congo (COMICO), "il est temps que le peuple congolais puisse trouver une solution dans le dialogue qui se tiendra prochainement et que la communauté musulmane pourra donner son cahier de charges très prochainement".
Le représentant de l'église du Christ au Congo, Marini Bodho, a fustigé l'inconstance de certains hommes politiques rd-congolais qui, selon lui, "avaient accepté de dialoguer avec le président Kabila mais à quelques jours de ce dialogue, ils ont refusé de rencontrer le chef de l'Etat".
Les opposants, la majorité et les forces vives de la société civile vont se trouver pour discuter du processus électoral et de la mise en place des nouvelles provinces, alors que le pays n'a pas encore trouvé le moyen financier pour organiser les élections globales estimées à plus d'un milliard de dollars américains.
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