2016, année décisive pour la coalition anti-Kabila
L’opposition s’oppose fermement à un troisième mandat anticonstitutionnel du président Joseph Kabila.
Et ils disent non à toute tentative de révision de la constitution. Réunis au sein du “Front citoyen 2016”,
les principaux ténors de l’opposition et ceux de la société civile s’apprêtent à mener des actions de grande
envergure dans tout le pays pour imposer l’alternance au sommet de l’Etat.
Ils s’appellent Vital Kamerhe, Félix Tshisekedi, Eve Bazaïba, ou encore Martin Fayulu. Ce sont tous des
opposants de poids au pouvoir de Kinshasa. Ils ont été rejoints par Moïse Katumbi, l’ancien gouverneur
du Katanga, qui a claqué la porte de la majorité présidentielle en septembre 2015.
Outre les formations politiques de l’opposition, la nouvelle coalition anti-Kabila a lancée hier mercredi
6 janvier comprend des membres des organisations de la société civile, des Congolais de la diaspora et
des confessions religieuses. Ils exigent par conséquent la publication d’un calendrier électoral consensuel,
au plus tard le 31janvier 2016 et la mise à jour du fichier électoral, au plus tard le 10 février 2016.
L’objectif est d’organiser comme le prévoit la Constitution, des élections crédibles avant la fin de l’année
2016. En appelant à ‘un nouveau système électoral, il veut faire passer le pays dans une nouvelle
République” qui lui permettrait de briguer un nouveau mandat que la Constitution lui interdit, explique
les leaders politique de l’opposition à Kinshasa.
Le président Kabila estime que le pays n’a pas l’argent nécessaire pour organiser les scrutins prévus. Il a
donc convié l’opposition, sans succès, à examiner “des modalités de vote peu coûteuses”. Ses opposants
le soupçonnent de chercher à s’accrocher au pouvoir au- delà du terme de son mandat. Ils préparent déjà
l’après Kabila.
Le Front Citoyen 2016 a appelle les Congolais à se mobiliser et à agir dans l’esprit de l’article 64 de la
Constitution qui stipule que “tout Congolais e le devoir de faire échec â tout individu ou tout groupe
d’individus qui prend le pouvoir par la force ou en violation des dispositions de la Constitution.”
Pour le pouvoir de Kinshasa, cette coalition a été mise en place polir préparer la déstabilisation des
institutions élues, en République Démocratique du Congo.
Et ils disent non à toute tentative de révision de la constitution. Réunis au sein du “Front citoyen 2016”,
les principaux ténors de l’opposition et ceux de la société civile s’apprêtent à mener des actions de grande
envergure dans tout le pays pour imposer l’alternance au sommet de l’Etat.
Ils s’appellent Vital Kamerhe, Félix Tshisekedi, Eve Bazaïba, ou encore Martin Fayulu. Ce sont tous des
opposants de poids au pouvoir de Kinshasa. Ils ont été rejoints par Moïse Katumbi, l’ancien gouverneur
du Katanga, qui a claqué la porte de la majorité présidentielle en septembre 2015.
Outre les formations politiques de l’opposition, la nouvelle coalition anti-Kabila a lancée hier mercredi
6 janvier comprend des membres des organisations de la société civile, des Congolais de la diaspora et
des confessions religieuses. Ils exigent par conséquent la publication d’un calendrier électoral consensuel,
au plus tard le 31janvier 2016 et la mise à jour du fichier électoral, au plus tard le 10 février 2016.
L’objectif est d’organiser comme le prévoit la Constitution, des élections crédibles avant la fin de l’année
2016. En appelant à ‘un nouveau système électoral, il veut faire passer le pays dans une nouvelle
République” qui lui permettrait de briguer un nouveau mandat que la Constitution lui interdit, explique
les leaders politique de l’opposition à Kinshasa.
Le président Kabila estime que le pays n’a pas l’argent nécessaire pour organiser les scrutins prévus. Il a
donc convié l’opposition, sans succès, à examiner “des modalités de vote peu coûteuses”. Ses opposants
le soupçonnent de chercher à s’accrocher au pouvoir au- delà du terme de son mandat. Ils préparent déjà
l’après Kabila.
Le Front Citoyen 2016 a appelle les Congolais à se mobiliser et à agir dans l’esprit de l’article 64 de la
Constitution qui stipule que “tout Congolais e le devoir de faire échec â tout individu ou tout groupe
d’individus qui prend le pouvoir par la force ou en violation des dispositions de la Constitution.”
Pour le pouvoir de Kinshasa, cette coalition a été mise en place polir préparer la déstabilisation des
institutions élues, en République Démocratique du Congo.
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